Le coaching, qu’est-ce que
c’est ?
Eh, bien, mieux que de grandes théories,
voici ce que vous en dîtes :
Depuis 20 ans je cherchais le lien entre mon chemin
spirituel et mon métier de comédienne. Aujourd’hui, avec ce travail, j’ai
l’impression de le toucher pour la première fois. C’est très
bouleversant et cela me donne une nouvelle énergie !
Céline, 38 ans, comédienne
Je piétinais dans ma recherche car j’avais l’impression
d’être enfermée dans des schémas et des émotions qui ne me correspondaient
plus. Je sens aujourd’hui que de nouvelles opportunités sont à ma portée et que
je suis capable de les aborder avec enthousiasme et réalisme.
Nadine, 51 ans, infirmière
J’étais bloquée, je ne voyais aucune issue et je ne supportais
plus les conseils des uns et des autres. C’est la première fois que je me sens
écoutée dans mon intégrité, c'est-à-dire avec mes contradictions et
difficultés, mais aussi avec tous ces désirs qui se succèdent et se mélangent. J’ai
le choix, il y a enfin quelqu’un qui dirige le bateau.
Barbara, 28 ans, chercheuse d’emploi
Je sens qu’aujourd’hui j’ai confiance en moi. Je peux
m’appuyer sur ma créativité et défendre mes points de vue sans avoir peur de
déplaire. Ce que je prenais pour des défauts sont en fait des atouts que je
m’obstinais à ne pas reconnaître !
Alain, 46 ans, chef de projet
En fait au départ, j’attendais une recette miracle qui me
ferait sortir de mes problèmes et ce qui s’est passé est plus simple et plus
réel, plus intéressant aussi : si je ne cherche pas à fuir les situations
et que je les regarde en face, comme dans cette relation avec ma mère, toute
mon intelligence est à ma disposition pour aller de l’avant et alléger
l’atmosphère, et moi aussi de surcroît !
Martine, 63 ans, retraitée
Vous avez le don pour écouter et entendre sans déformer ni
m’emmener où je n’ai pas choisi d’aller. Les conseilleurs ne sont pas les
payeurs et personne ne peut savoir mieux que moi et prendre mes décisions à ma
place ! Quelle aventure !
Michel, 56 ans, ébéniste
Je me suis toujours efforcé d’être un bon manager,
conciliant, déléguant, donnant la parole à toute mon équipe, à mes partenaires.
Ce que je vois désormais c’est que je dois m’inclure dans le processus et
m’octroyer des espaces de parole. C’est ce qui manquait à mon équilibre, mais
aussi à mes performances.
Pierre, 49 ans, chef d’entreprise
Au début de nos rencontres, je me disais : mais
pourquoi la paies-tu si c’est toi qui fait le boulot ? Mais finalement,
tout ça n’est pas cher si je regarde le chemin parcouru ! C’est un sacré
job d’être là uniquement pour que l’autre y soit aussi, comment dire, comme
sujet. Ça a du poids !
Karl, 30 ans, musicien
Je vous assure qu’avoir lâché ce foutu désir de
perfection : ouf ! Qu’est-ce qu’on s’abrutit à vouloir ressembler à
un idéal qui n’est pas nous, moi… Je suis beaucoup plus efficace et surtout
beaucoup plus crédible car je m’appuie sur mes propres ressources !
Niels, 28 ans, commercial
Jusqu’à ce que vous mettiez le doigt sur mes propres
contradictions, j’ignorais que j’étais à ce point coupée de moi et tellement
culpabilisée. Je dépassais sans arrêt mes limites. Avec cette patiente, madame
Z, je me sentais tellement bouffée que c’en était insupportable.
Isabelle, 36 ans, gériatre
Dans ce conflit avec mon boss, je croyais que j’étais le
seul à être humilié et sous-estimé, et alors quand j’ai vu que moi aussi, non
seulement je le méprisais mais que je l’humiliais ouvertement, ça été un
choc ! Il n’y avait aucune issue tant que chacun s’obstinait à nier
l’autre. En fait on crevait de trouille ! Il faudra du temps mais on ne se
met plus de bâtons dans les roues !
Vous le savez, je n’étais pas chaude pour ces entretiens, au
début ! J’avais peur que ça remonte, j’ai tellement appris à me méfier des
indiscrétions dans cette boite ! J’étais déjà sur la sellette ! Je
sais que rien ne sortira d’ici, de cet espace, comme vous dîtes, qui
m’appartient ! ça m’aide à
me recentrer sur mon désir de créer ma propre boite et d’oser le faire en
respectant mes valeurs ! Et pour moi, c’est vital !
Marie-Louise, 34 ans, formatrice
J’ai repris la plume, ou plutôt le clavier, enfin !
Fini la sécheresse qui m’a fait entreprendre ce travail ! Je tournais à
vide et je me renfermais. Cela semblait tellement plus confortable de se
prendre pour un poète maudit que de regarder le vrai problème. Je me sabotais
moi-même pour éviter l’incompréhension générale. Comment j’ai pu supporter ces
angoisses, et surtout faire en sorte de les alimenter ? Si on me prend
pour un fou, d’accord c’est pas top, mais ça ne signifie pas que je
délire ! J’ai lu quelque chose sur la folle sagesse, ça me parle !
L’adulte véritable, le sage, le vieux avec un grand V, n’est pas un vieil
enfant devenu rigide à force de formatage.
Ulrich, 41 ans, journaliste
Ulrich, 41 ans, journaliste
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